Friederike Mayröcker, grande
poétesse viennoise, pratique une forme proche
de l'écriture automatique où se retrouvent
à la fois techniques du Nouveau Roman et montages
surréalistes. Du flux des mots, Johannes Strugalla
fait émerger clés de lecture et structures
visuelles qu'il transforme en mots-images. Ces compositions
trouvent dans les gravures aux couleurs subtile s presque monochromes de Monique
Frydman à la fois une équivalence et un
prolongement plastique. |
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Fiche technique du livre |
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Texte en allemand, inédit,
de Friederike Mayröcker, traduction française
de Jacques Lajarrige (édition bilingue).
Sept
aquatintes pleine page de Monique Frydman (impression
: atelier Lacourière-Frélaut),
27 typogrammes (plomb) de Johannes Strugalla,
48 pages, 35 x 29 x 5 cm, coffret entoilé.
70 exemplaires numérotés et signés.
Les 10 premiers exemplaires accompagnés de la « Suite » des aquatintes grande marge
dans chemise et étui entoilés (69 x 53
x 6 cm) composent l'édition de tête. 1995 |
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