L'artiste canadienne, familiarisée
avec la tradition chamanique des Inuit, transpose ses
observations sur les chamans d'aujourd'hui, ceux de
l'art, de la culture, des medias. Éléments
littéraires et plastiques se mêlant, il
en résulte une poésie visuelle aux pages
vibrantes se refusant à tout principe d'ordonnancement
rationnel. Johannes Strugalla propose dans un contrepoint
qui lui est propre une échelle typographique
de symboles et de sons empruntés à Artaud. |